L’ALUMINIUM
Par Michel Dogna
Un fléau invisible qui ronge le cerveau
L’aluminium se dissimule partout, dans des endroits que l’on ne soupçonne pas, discrètement, et souvent sans être mentionné. Il s’est glissé dans de nombreux emballages de produits courants des supermarchés, ainsi que dans leur composition; exemples: brioches, fromages, lait en poudre, saucisses, et même cosmétiques. De fait, les sels d’aluminium sont d’une utilisation facile et bon marché, comme
– agents de blanchiment,
-correcteurs de pH,
-antiagglomérants pour des produits en poudre tels que le lait, le sel, le sucre;
mais encore, comme:
– colorants alimentaires,
– anti-transpirants,
– agents abrasifs de dentifrices;
– enfin, dans l’eau de la ville, pour la rendre plus transparente au robinet.
Depuis des années, on était partis du principe que l’aluminium n’avait aucune incidence sur l’organisme. Mais depuis, de multiples études sur l’homme et les animaux ont prouvé le contraire. En effet, l’aluminium est impliqué dans des maladies neurologiques comme l’Alzheimer et le Parkinson, mais aussi l’ostéoporose ainsi que cette mystérieuse myofascite à macrophages; A savoir que celle-ci se reconnaît par :
– douleurs articulaires chroniques intenses et invalidantes,
– fatigue chronique,
– troubles de l’attention,
– baisse de mémoire,
– troubles du sommeil…
Beaucoup de personnes l’on contracté à partir du vaccin hépatite B dans les années 90.
C’est le Pr. Ghérardi qui, le premier, a fait le lien de cause à effet, avec l’adjuvant à l’aluminium du vaccin. Le facteur aggravant tient dans le fait que maintenant, les vaccins s’administrent en trois ou quatre doses espacées au lieu d’une seule dose. Or, le seuil de tolérance maximum est variable selon chacun, ce qui explique que certains soient touchés plus que d’autres. En plus des douleurs, les victimes se plaignent de trous de mémoire quelquefois dramatiques.
Tout ceci est d’autant plus stupide que l’on peut très bien remplacer l’adjuvant aluminium par du chlorure ferrique inoffensif avec résultats identiques. C’est d’ailleurs ce qu’a fait l’Institut Pasteur il y a quelques années,…… mais curieusement, cette substitution a été supprimée par la suite.
A la fin des années 50, les vaccins polio, diphtérie et tétanos ont été produits en deux versions au choix: avec du sel d’aluminium classique ou avec du phosphate de calcium de remplacement (formule «IPADE») qui est sans danger connu. A partir de 1970, l’Institut Pasteur a décidé de produire cette génération «IPADE» sans alu, à grande échelle étendue à tous les vaccins. Hélas, en 1984, à sa fusion avec Mérieux, la production de ce type de vaccins a été stoppée pour produire uniquement des vaccins à l’aluminium.
Les chercheurs de Pasteur furent scandalisés, d’autant plus qu’ils venaient de démontrer que l’aluminium stimulait la production d’Ige responsable des réactions allergiques.
LE RESEAU SANTE-ENVIRONNEMENT DE FRANCE
Ce réseau 2.500 médecins (ce qui est en outre peu par rapport aux 70.000 médecins en fonction). Ces médecins s’appliquent à sensibiliser les ménages sur la présence de l’aluminium dans de nombreux produits de consommation courante que l’on aurait jamais l’idée de remettre en question. Exemple: le pain, les viennoiseries (ou l’aluminium sert à faire lever la pâte), divers biscuits, mais aussi dans les shampoings, les colorants pour cheveux, les crèmes solaires (y compris pour les enfants) offrant aussi une absorption transcutanée. Il ne faut jamais oublier que l’aluminium est un neurotoxique dangereux.
Le Pr Ghérardi, président du réseau, a expliqué sur «La 5» que ses recherches l’ont amené à une grande surprise, celle que l’aluminium était bio-persistant chez certaines personnes, alors que l’on croyait qu’il était toujours rapidement éliminé par les reins, après vaccination. Il a précisé que l’on a retrouvé de l’aluminium dans la rate et le cerveau, lors d’autopsies, de nombreuses années après les vaccinations classiques. Il a expliqué cela par le fait qu’une partie des macrophages restent sur le site vaccinal, mais qu’une autre partie se ballade dans le sang et peut passer la barrière encéphalique, dans les quelques minutes ou heures qui suivent. Mais les autorités sanitaires gouvernementales aux ordres des lobbies pharmaceutiques ne veulent pas le savoir et ont mis au placard les travaux du Professeur.
NOTA : Nous verrons plus loin que le professeur Ghérardi n’a pas été au fond du problème et n’a en fait proposé aucune solution .
LE SCANDALE DU LAIT EN POUDRE MATERNISE POUR BEBES
15 marques de lait – y compris des laits BIO – ont été testées en Bretagne par le Pr Chris Huxley, dans lesquelles il a systématiquement détecté la présence de traces d’aluminium; à noter qu’en plus, les boîtes sont en aluminium. En outre, Ce professeur a analysé les 8 poudres de lait les plus vendues en Grande-Bretagne (Danone, Nestlé, etc.), et il y a trouvé entre 0.4 et 0.63mg d’aluminium par litre, ce qui veut dire entre 2 et 3 fois plus que la limite admise dans l’eau du robinet. Or, il est connu que chez les bébés jusqu’à 6 mois, la barrière encéphalique n’est pas formée. Cette pollution peut donc entraîner des dommages pour le reste de leur vie. Mais personne ne fera jamais le lien……
DES SOLUTIONS SONT POURTANT PRÊTES A L’EMPLOI
Oui mais personne n’en veut parce ceux qui nous dirigent aiment les malades et les débiles. Le nombre de malades d’Alzheimer augmente de façon vertigineuse, ceci particulièrement dans les pays développés.De 300 000 en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui.Et curieusement, de plus en plus de jeunes sont maintenant touchés.
Or, si l’on admet que l’aluminium est le facteur déterminant de cette maladie, il est une question dérangeante que je pose : Comment se fait-il que la génération de nos parents qui a largement cuisiné et mangé toute la vie dans de l’aluminium (bidons, casseroles, cocottes, etc.), n’en ait pas spécialement subi de conséquences ? Pourtant tout le monde a pu constater comment les aliments acides comme les épinards ou le lait décapaient magnifiquement les casseroles !
J’ai moi-même mangé quotidiennement durant des années en pensionnat, puis durant mon service militaire, puis dans les cantines d’entreprise, du cuisiné dans de l’alu, et même à la maison dans ces fameuses cocottes minutes en aluminium, longtemps restées à la mode avant de passer à la version plus couteuse en inox……et alors ? Alors RIEN, aucun cas d’Alzheimer, d’ostéoporose, de Parkinson dans ma famille proche, même après des décennies de recul.
UNE DECOUVERTE DETERMINANTE
Un jour, un éclairage nouveau m’est parvenu à partir d’études convergentes sur le métabolisme de l’aluminium dont je fus informé. L’on savait déjà que l’aluminium se substitue au fer, au cuivre et au zinc empêchant les enzymes associées de fonctionner et perturbant leurs réactions chimiques. Mais la découverte dont curieusement on ne parle jamais, c’est que la silice présente une attirance électrique pour l’aluminium, ce qui lui confère la propriété de le piéger où qu’il se trouve, même dans le cerveau, et de l’évacuer vers les voies rénales.
En effet :
Birchalla a montré que :
1 – le silicium s’agrège à l’aluminium créant des précipités d’aluminosilicates peu solubles et donc moins toxiques que l’aluminium. L’aluminium inhibe l’action de la prolyl hydroxylase dont le fer est le principal cofacteur. Lorsque la concentration sanguine de silicium atteint six fois celle de l’aluminium celui-ci est extrait de cette enzyme laquelle se remet à fonctionner normalement.
2 – l’action du silicium est très dépendante du pH et qu’au-dessus de pH 7,4 son action commençait à faiblir. De nombreux auteurs montrent l’action préventive des eaux acides riches en silicium sur l’artériosclérose.
3 – les eaux acides riches en silicium éliminaient chez le poisson les effets toxiques de l’aluminium. Tout ceci rappelle la bioélectronique de Vincent, et doit rendre méfiant de l’alcalinisation de l’eau actuellement prônée avec des appareils au demeurant très chers…
Fasman a montré que :
1 – Le silicium à la concentration de 100 μmoles/L se fixe à l’aluminium et l’inactive.
2 – L’aluminium est présent dans les plaques beta-amyloïdes et les dépôts fibrillaires ; le silicium se fixe à l’aluminium et l’extrait de ces protéines ce qui provoque leur solubilisation.
3 – Le silicium se complexe à l’aluminium et l’empêche de se lier aux protéines ce qui permet de prévenir la formation de dépôts fibrillaires et de plaques séniles.
4 – Par spectrométrie de masse il a constaté qu’à faible concentration le silicium a peu d’action mais que dès que sa concentration atteint celle de l’aluminium, l’aluminium est extrait des protéines bêta et des amas fibrillaires ; lorsque la concentration en silicium atteint le double de celle de l’aluminium ces protéines retournent à leur état normal. L’action du silicium est identique; que les protéines soient phosphorylées ou non.
E. Carlisle a produit un abondant travail sur les effets multiples du silicium, publiés entre autres dans la prestigieuse revue Science. L’auteur rappelle le fait que le silicium est essentiel pour le fonctionnement du cerveau et que celui-ci est l’un de ses principaux composants. Cela avait déjà été affirmé par Rudolf Steiner et le professeur Rocard. Le cerveau étant un ordinateur, il est normal que la silice soit l’élément de base pour son fonctionnement, comme tous les ordinateurs.
Enfin E. Carlisle conclue que la supplémentation en silicium permet une régression des effets de l’aluminium sur le cerveau.
Bellia et Birchall concluent:
Le silicium est un véritable chélateur de l’aluminium.
Il agit comme un puissant neutralisant, il freine son absorption intestinale, annule ses effets toxiques et augmente son élimination rénale.
CORRÉLATION AVEC L’AGRICULTURE CHIMIQUE
Je me suis alors dit que logiquement, ceux qui n’éliminent pas l’aluminium sont ceux qui sont carencés en silice. Or savez-vous que la silice ne peut être absorbée dans le sol par les radicelles des plantes qu’avec l’assistance de milliards de micro-organismes qui pré-digèrent les minéraux, et en dégorgent un miellat bio disponible, un peu à la manière des abeilles avec le miel. Il faut bien réaliser que depuis des décennies, les traitements massifs des cultures vivrières aux engrais chimiques brûlent et exterminent la majeure partie de ces micro-organismes. L’on comprend alors pourquoi les blés qui faisaient 1,50 m de haut il y a 50 ans, ont été génétiquement raccourcis à 50 cm maximum afin de pouvoir tenir debout en cas d’intempéries. Or, nous qui sommes au bout de la chaîne alimentaire, et qui consommons ces légumes et ces céréales carencés en silicium (ainsi qu’en magnésium), nous ne pouvons qu’être pareillement carencés. Sauf…. si l’on mange bio !
NOTA : De même que de nombreuses personnes, en raison de leur pollution organique n’arrivent plus actuellement à fixer le calcium quelles que soient les quantités absorbées, l’on peut supposer que certaines d’entre elles perdent aussi la capacité de fixer la silice ; dans ce cas, il s’agirait d’un problème de déprogrammation électronique des parois cellulaires qui n’autoriseraient plus l’entrée des ions silicium. La solution est bien sûr la prise de silice sous forme d’oligo-éléments, qui ont la capacité de rétablir dans ce cas l’autorisation membranaire, la plus performante paraissant à mon sens la SILICE ionique SC.
LA PRÊLE DES CHAMPS : L’ANTIDOTE DE L’ALUMINIUM
La prêle des marais et la prêle des bois sont toxiques en raison du kaempferol qu’elles contiennent. La prêle des champs est la seule variété bénéfique. Elle contient néanmoins du quercétol toxique seulement au long court; c’est pourquoi les extraits produits par extraction à chaud (décoction, tisane) ou en milieu alcoolisé, ou encore les totum de la plante (poudres, gélules), bien qu’efficaces ne doivent pas être utilisés plus de 3 semaines.
Heureusement, un procédé d’extraction à froid en milieu aqueux a été mis au point et permet d’obtenir une solution de prêle pratiquement exempte de quercétol. C’est la seule formule qui autorise une supplémentation prolongée en silicium.
Précaution d’emploi :
La prêle, débarrassée du quercétol doit être utilisée quasiment pure, elle n’est compatible qu’avec un nombre très limité de substances et plantes ; elle ne supporte pas l’association à l’alcool, aux silicates ni aux autres plantes même bénéfiques.
C’est un piège qui explique que des utilisateurs de silicium ont souvent été déçus malgré des promesses fondées sur des travaux scientifiques du plus haut niveau.
NOTE DE PHYTONIKA : Le silicium est un complément alimentaire, ce n’est pas un médicament et il n’a pas vocation à prévenir ou guérir d’une maladie ou à remplacer un traitement médical.